Etudier au Japon #3 – Pour la culture

Le Meiji Bunka Institute ajoute une nouvelle corde à son arc. En effet, dans le cadre du partenariat que nous avons noué avec l’école de Langue JOTO, basé à Tokyo, nous proposons d’accompagner les personnes désireuses d’étudier au Japon, en les guidant dans les formalités nécessaires à la réalisation de ce vœu. A cet occasion, nous vous proposons cette série d’articles qui vous expliqueront les avantages des études au Pays du Soleil Levant. 

Si vous êtes intéressé, vous pouvez nous contacter aux  (+225) 08749943 / (+225) 48404619 / (+225) 58405272

  1. Un dépaysement garanti

C’est bien le sentiment le plus partagé par les personnes qui découvrent le Japon : le dépaysement. En effet, le mode de vie dans l’archipel est si particulier que le décalage avec les autres cultures est fortement remarqué. Vous serez dépaysé par le niveau d’implémentation de la haute technologie dans la vie quotidienne, par les traditions si particulières qui se déclinent de mille et une façons. Vous serez dépaysé par la sérénité et la sensation de sécurité, vous serez dépaysé par les… paysages ! Vous serez dépaysés par les Japonais eux-mêmes. Ce peuple si unique qui ne cesse d’intriguer…

Et en plus d’être dépaysé, vous en ressortirez probablement changé, d’une façon ou d’une autre. Et vu les retours d’expérience de personnes l’ayant vécu, il y a de fortes chances que ce soit pour le meilleur…

2. Une culture du travail reconnue
Les Japonais sont réputés pour être de grands travailleurs. Et cette mentalité est communicative. Au-delà de cela, l’innovation fait partie de l’ADN nippon. A tel point que le pays donne très souvent l’impression à ses visiteurs étrangers d’avoir un ou plusieurs temps d’avance sur le reste de la planète dans ce domaine. Mais cette culture d’entreprise tire son essence des racines même du Japon. En effet la grande majorité des entreprises les plus vieilles du Monde sont japonaises. Vivre dans un tel environnement sera indubitablement une expérience enrichissante pour vous.

3. Des traditions et une histoire millénaires, une modernité prescriptrice du futur

L’histoire japonaise fait remonter la naissance du pays à l’an 660 avant notre ère. Ce qui lui a permis de doter d’une histoire et de traditions riches, diverses et variées. Celles-ci dialoguent de façon continuelle avec une modernité dont le Japon est un poste avancé.

Ne soyez pas étonnés si vous voyez le pays être classé parmi les plus innovants du Monde. Il était par exemple 6eme de du classement « Index Innovation » 2018 de Bloomberg, et il est classé au premier rang du classement mondial des pays innovants effectué la même année par Clarivate Annalytic.

Tout ceci n’est pas le fruit du hasard. Le pays, avec 3,42% de son PIB dédié à ce secteur, est l’un de ceux qui investissent le plus dans la recherche & Développement sur la Planète. 70% de cet investissement est réalisé par le secteur privé, et les industries nippones bénéficient de fonds propres et d’une capacité à innover parmi les plus importantes au Monde.

Résultat, 27% des brevets actuellement en vigueur dans le Monde sont japonais, ce qui place le pays à la première place mondiale, et en 2016, le pays était le deuxième du Globe en matière de brevets octroyés, derrière la Chine.

Cette imbrication et cet échange entre la tradition et la modernité, vous la verrez partout où vos yeux se poseront. Dans les temples et les sanctuaires qui remontent aux origines du pays, chez les robots qui vous accueillent dans certains magasins, dans la langue japonaise qui s’articule fortement autour de la politesse, dans les fameuses « toilettes japonaises », outils ultra modernes semblant venir tout droit de l’Espace

Ainsi le premier robot capable d’apprendre tout seul est japonais. Et la première chose qu’il a apprise est la Cérémonie du Thé, un art nippon millénaire. D’une manière générale, au Japon, contrairement à d’autres pays, on n’a pas de réticence et on considère même avec une certaine bienveillance l’idée d’interagir avec des robots et de recourir aux innovations de la révolution numérique. Les raisons tout autant économiques que culturelles, voire spirituelles. En effet, le bouddhisme et le shintoïsme, dominants dans l’archipel, enseignent dès le plus jeune âge un profond respect de la Nature et de l’environnement. Y compris des objets inanimés et non vivants. Objets qui sont considérés comme pouvant avoir une âme. Pas étonnant donc de voir un robot prêtre bouddhiste dans un temple…

4. Une culture qui inspire le Monde
La culture nippone fascine, c’est bien connu. Et ce depuis que des yeux étrangers ont eu le délicat bonheur de poser le regard sur elle. Et qui dit fascination dit également inspiration. A ce niveau, on pourrait citer tant d’exemples. Comme l’impact que le japonisme, né e à la fin du 19eme siécle, a eu sur l’impressionnisme et l’Art Nouveau occidentaux, l’influence (voir plus) qu’on eu les films de réalisateurs comme Akira Kurosawa sur des classiques du cinéma comme Star Wars ou Les 7 Mercenaires par exemple, ou encore l’impact que des techniques managériales et des philosophies nippones comme le Toyotisme ou le Kaizen, en partie à l’origine de la compétitivité du pays, ont eu sur le monde de l’Entreprise…

Mais s’il y a bien un phénomène culturel japonais qui fait florès de nos jours, c’est bien celui de la culture otaku, notamment ses deux fers de lance que sont les mangas (bandes dessinées japonaises ou de style japonais) et les animes (œuvres d’animation japonaise ou de style japonais). Depuis les années 80, ces derniers ont progressivement et littéralement conquis la planète entière, devenant au passage, et de loin, les ambassadeurs numéros un du Japon à travers le globe. Et la vague ne fait que s’amplifier, atteignant des pays auparavant peu touchés comme les USA ou la Chine. A tel point qu’en 2017, la seule industrie des animes, en expansion depuis plusieurs années, a réalisé un chiffre d’affaires record de 16 milliards d’Euros.

Un record qui sera lui-même battu l’année suivante, avec un chiffre d’affaire de 18 milliards d’Euros

5. Une culture qui sait se valoriser
Et ce succès n’est pas vraiment étonnant, lorsqu’on se rend compte à quel point les japonais sont doués pour valoriser leur culture. Dans ce domaine leur ingéniosité est infinie. Ne soyez pas surpris de tomber, si vous êtes au pays du Soleil Levant, sur des matsuri (un festival culturel visant faire revivre et à perpétuer une tradition) à foison, sur un train customisé aux couleurs de manga Naruto, un avion aux couleurs de la marque Hello Kitty ou encore des plaques d’égout décorées aux couleurs du Mont Fuji, des Pokémon ou encore de telle spécialité culinaire de la région. Vous tomberez également sur des tas de yuru-kyara, ces mascottes conçues pour faire la promotion de villes, de régions, d’organisations ou d’événements. Yuru-kyara qui ont généré en 2012 un chiffre d’affaire 15 milliards d’Euros

Même les politiques se joignent au mouvement. En effet, le Gouvernement japonais soutient fortement ses industries culturelles, considérées officiellement comme un instrument du Soft Power nippon, à travers notamment un fond spécial appelé « Fond Cool Japan ». Et lors de la Cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Rio en 2015, Le Premier Ministre Japonais, qui devait recevoir le flambeau des JO de Tokyo 2020, est apparu déguisé en Mario, un célèbre personnage de jeu vidéo.

Dans cette série : Etudier au Japon

  1. Pour la qualité de l’enseignement
  2. Pour la qualité de vie
  3. Pour la culture
  4. Pour les opportunités
  5. Pour l’accompagnement en Côte d’Ivoire (via le Meiji Bunka Institute) et au Japon

Etudier au Japon #5 – Pour l’accompagnement en Côte d’Ivoire (via le Meiji Bunka Institute) et au Japon

Le Meiji Bunka Institute ajoute une nouvelle corde à son arc. En effet, dans le cadre du partenariat que nous avons noué avec l’école de Langue JOTO, basé à Tokyo, nous proposons d’accompagner les personnes désireuses d’étudier au Japon, en les guidant dans les formalités nécessaires à la réalisation de ce vœu. A cet occasion, nous vous proposons cette série d’articles qui vous expliqueront les avantages des études au Pays du Soleil Levant.

Si vous êtes intéressé, vous pouvez nous contacter aux  (+225) 08749943 / (+225) 48404619 / (+225) 58405272

  1. Le Meiji Bunka Institute, une organisation fondée et animée par des passionnés du Japon et sa culture

Le Meiji Bunka Institute, encore appelé Meiji, est une ONG qui a été formée il y a plus d’une décennie par des passionnés qui souhaitaient créer un cadre pour que quiconque ayant un intérêt pour Japon et sa culture puisse l’exprimer librement et convenablement. Force était en effet de constater que le contexte ivoirien ne le favorisait pas. Depuis, l’ONG a grandi et est devenue une référence dans son domaine d’activité en Côte d’Ivoire. Notamment dans l’enseignement de la langue japonaise qu’elle pratique depuis bientôt 10 ans maintenant.

Une organisation pionnière et leader dans la promotion de la culture Japonaise.
Depuis son lancement, Meiji a beaucoup roulé sa bosse et peut se targuer d’avoir beaucoup d’actions à son crédit. Déjà, l’ONG est une référence en matière d’enseignement de la langue japonaise en Côte d’Ivoire. Forte de sa décennie d’expérience, elle a constamment amélioré sa méthodologie et structuré l’organisation ses cours. Elle a par exemple conçu des manuels pour ses deux niveaux actuels d’enseignements, manuels offerts gratuitement aux élèves. De plus, son cursus de deux ans prépare aux deux premiers des 5 niveaux de la JLPT, Japanese Profuciency Test ou Nihongo Noryoku Shinken (日本語能力試験、Test d’aptitude à la langue Japonaise), l’équivalent nippon du TOEFL américain, organisé et remis par le Gouvernement japonais lui-même. En 2015, Alain Bah, l’un des professeurs de Japonais de l’ONG, également Chef de la Section Promotion de la Langue Japonaise, a représenté la Côte d’Ivoire au cours d’un séjour linguistique dans la région Japonaise du Kansai.

Le Meiji Bunka Institute est également connu pour faire la promotion du shogi, un jeu de stratégie japonais similaire aux échecs et popularisé par le personnage de Shikamaru dans le manga Naruto. Meiji est l’organisation qui a introduit le jeu sur le Continent Africain. Le premier représentant de l’Afrique à l’International Shogi Forum, la Coupe du Monde Amateur de la discipline, a été Lionnel Kouassi, le Président de l’ONG, en décembre 2014. Puis en novembre 2017, Bah Ismael Duhamel, le Président de la Section Shogi de l’ONG a atteint les quarts de finale de la compétition. Une première encore pour l’Afrique.

Meiji est aussi connu pour avoir eu un temps un groupe de musique dénommé ASOBI BAND qui pratiquait de l’Afro-JPOP. L’un de ses membres a même représenté la Côte d’Ivoire à Nodojiman The World, un concours de chant international au Japon.

Nous soutenons également de jeunes dessinateurs et scénaristes de Bande Dessinée, que ce soit sur les réseaux sociaux ou via notre section Manga qui a organisé pendant un temps des ateliers créatifs à leur profit.

Outre toutes ces actions, nous avons aussi à notre actif l’organisation de plusieurs événements comme la semaine du Japon en 2015

3. Une ONG reconnue sur le plan national et international
En plus de notre reconnaissance officielle auprès des autorités ivoiriennes, nous collaborons régulièrement avec l’Ambassade du Japon en Côte d’Ivoire dans le cadre de l’organisation d’événements divers. En tant que structure enseignant la langue nippone, nous sommes reconnus par cette même ambassade et par la Japan Foundation, l’organisme étatique chargé de la promotion du Japonais dans le Monde.

Dans le cadre de la promotion du shogi, nous sommes reconnus par la JSA, la Fédération Japonaise de Shogi, qui organise l’International Shogi Forum au cours duquel nous avons représenté le Continent à deux reprises déjà. Nous sommes en charge de l’organisation des éliminatoires ivoiriennes de cet événement triennal.

Il nous arrive également d’avoir des échanges avec des organisations comme la JICA, en charge de la promotion des investissements japonais à travers le Globe, ou l’ONG Ashinaga, qui octroie chaque année des bourses aux orphelins…

4. Notre partenariat avec l’Ecole de Langue JOTO
La JOTO Japanese-Language School est un établissement d’enseignement de la langue japonaise situé dans le quartier d’Asakusa à Tōkyō. Comme la plupart de ces établissement destinés aux ressortissants étrangers, la JOTO a pour objectif principal et avoué de permettre à ses étudiants d’acquérir le niveau de langue requis pour suivre des cours dans les universités japonaises ou être capable de travailler à des postes qui l’exigent. En effet, étudier au Japon nécessite d’être capable de valider le JLPT N2, qui est le quatrième des 5 niveaux de compétence du diplôme officiel d’aptitude à la langue japonaise. Ce qui fait que les étudiants étrangers passent pour la plupart dans une école de langue avant de commencer les cours dans leur filière. Pour vous permettre d’atteindre cet objectif, la JOTO propose différents cursus allant d’un à deux ans de durée, en fonction du niveau initial de l’étudiant. Bien équipée, forte de plus de 16 ans d’expérience, elle dispose d’un staff rompu à sa tâche. Elle est en plus prête à vous aider dans tous les aspects de votre intégration à la vie d’étudiant au Japon. Elle vous aidera ainsi à trouver un logement, un travail à mi-temps, elle vous accompagnera lors qu’il vous faudra faire les démarches nécessaires à l’entrée dans l’Université de votre choix, etc. Grâce à la JOTO, vous apprendrez le japonais non seulement dans des salles de classes et sur le terrain à travers des visites guidées, la visite aux familles d’accueil japonaises, la participation à diverses activités culturelles. Vous pourrez partager vos expériences du quotidien avec des étudiants d’origines diverses ayant le même objectif que vous.

La JOTO Japanese-Language School accueille aujourd’hui un peu plus de 300 étudiants en son sein. La plupart d’entre eux viennent du Vietnam, de Mongolie, de Chine et de Birmanie. Désirant accueillir plus d’étudiants africains (elle n’en compte qu’une poignée), elle a conclu en cette année 2020 un partenariat avec le Meiji Bunka Institute dans le but de l’aider dans cette tâche en Côte d’Ivoire.

5. Notre offre d’accompagnement
Nos prestations consisteront à vous conseiller sur les démarches à accomplir durant le processus d’inscription à l’école de langue Japonaise JOTO, à vous aider à les accomplir, et à suivre le processus jusqu’à son achèvement.

Nous vous conseillerons également sur la préparation de votre cursus universitaire dans la filière de votre choix après les cours de langue. Cet accompagnement continuera une fois que vous serez arrivé au Japon, au sein de l’Ecole JOTO.

Ces prestations seront gratuites. Nous ne recevrons une commission de JOTO que si les démarches réussissent et que vous commencez à y étudier.

Enfin, si vous souhaitez acquérir un certain niveau en Japonais avant de le compléter à la JOTO, nous sommes disposés à vous dispenser des cours particuliers aux tarifs et au format adaptés pour la circonstance.

Dans cette série : Etudier au Japon

  1. Pour la qualité de l’enseignement
  2. Pour la qualité de vie
  3. Pour la culture
  4. Pour les opportunités
  5. Pour l’accompagnement en Côte d’Ivoire (via le Meiji Bunka Institute) et au Japon

Etudier au Japon #4 – Pour les opportunités

Le Meiji Bunka Institute ajoute une nouvelle corde à son arc. En effet, dans le cadre du partenariat que nous avons noué avec l’école de Langue JOTO, basé à Tokyo, nous proposons d’accompagner les personnes désireuses d’étudier au Japon, en les guidant dans les formalités nécessaires à la réalisation de ce vœu. A cet occasion, nous vous proposons cette série d’articles qui vous expliqueront les avantages des études au Pays du Soleil Levant. 

Si vous êtes intéressé, vous pouvez nous contacter aux  (+225) 08749943 / (+225) 48404619 / (+225) 58405272

  1. Les possibilités de financer ses études, via du travail à temps partiel notamment

Soyons clair : étudier au Japon nécessite une certaine préparation sur le plan financier. Le coût des études au Pays du Soleil Levant reste élevé pour un habitant d’un pays comme la Côte d’Ivoire. Mais il est moins cher qu’en Occident, pour un enseignement de qualité similaire voire supérieure.

Le Gouvernement Nippon, conscient de ce fait, autorise les étudiants étrangers à travailler à temps partiel jusqu’à 28 heures par semaine (voire 40 heures par semaine pendant les vacances longues) pour qu’ils puissent arrondir leurs fins de mois. Étant donné que le marché du travail manque de main d’œuvre et que la culture du ARUBAITO (Travail à temps partiel en japonais) est une tradition solidement ancrée et parfaitement implémentée dans l’archipel, en trouver ne vous posera pas vraiment de problème. De plus, en règle générale les étudiants au Japon bénéficient d’une plus grande liberté d’aménagement de leurs emplois du temps qu’ailleurs, aux fins justement de leur permettre, le cas échéant, de mieux combiner travail et études. Sans compter ce que cela vous apportera niveau expérience professionnelle.

2. Les facilités offertes par les bourses d’études
En plus, vous pouvez également postuler à des bourses d’études qui faciliteront encore plus les choses au niveau financier. En Côte d’Ivoire par exemple, il y a le MEXT, une bourse octroyée par le Gouvernement nippon qui prend en charge tous vos frais de scolarité. Il y a aussi l’initiative Ashinaga destinée aux orphelins. Si vous souhaitez postuler à ces bourses, vous pouvez vous renseigner auprès du Meiji Bunka Institute ou de l’Ambassade du Japon, ou encore vous faire accompagner par l’entreprise Elder au Japon, fondée par un ivoirien et spécialisée dans le domaine.

3. Les opportunités professionnelles (marché du travail manquant de main d’œuvre)

C’est connu, les entreprises japonaises sont connues pour leur savoir-faire qui leur permet d’être des leaders dans de nombreux domaines. Elles viennent cependant d’un pays dont la population, donc la main d’œuvre, décroit. En effet, le Japon est le pays au Monde où l’on vit le plus longtemps (83,7 ans en 2016). Recordman mondial en nombre de centenaires, le pays est également l’un ceux où l’on fait le moins d’enfants sur Terre. Résultat, une population qui vieillit et une pénurie de travailleurs. On estime par exemple que rien que pour le secteur de la technologie, le pays pourrait souffrir d’un manque à gagner de 48.000 ingénieurs en 2020. Le Gouvernement Nippon a donc décidé d’encourager le recrutement d’étrangers par les établissements supérieurs et les entreprises du pays. C’est dire les possibilités qui s’offrent à vous.

4. La langue japonaise…
Vivre au Japon vous demandera d’apprendre le Japonais. Sauf s’ils le maîtrisent déjà, les étudiants étrangers l’apprennent pendant un certain temps (en fonction de leur niveau) avant de commencer leur cursus académique. La connaissance de cette langue, outre le plus culturel et les facilités diverses qu’elle offre au sein de la société nippone et au-delà, sera à n’en point douter une plus-value pour votre CV.

D’autant plus que vous pouvez parfaitement commencer à l’apprendre ici. En effet, selon les autorités nippones, la Côte d’Ivoire est le pays d’Afrique où l’on parle le plus japonais.

Dans cette série : Etudier au Japon

  1. Pour la qualité de l’enseignement
  2. Pour la qualité de vie
  3. Pour la culture
  4. Pour les opportunités
  5. Pour l’accompagnement en Côte d’Ivoire (via le Meiji Bunka Institute) et au Japon

Etudier au Japon #2 – Pour la qualité de vie

Le Meiji Bunka Institute ajoute une nouvelle corde à son arc. En effet, dans le cadre du partenariat que nous avons noué avec l’école de Langue JOTO, basé à Tokyo, nous proposons d’accompagner les personnes désireuses d’étudier au Japon, en les guidant dans les formalités nécessaires à la réalisation de ce vœu. A cet occasion, nous vous proposons cette série d’articles qui vous expliqueront les avantages des études au Pays du Soleil Levant. 

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  1. Un pays extrêmement sûr

Le Japon est réputé pour être l’un des pays les plus sûrs du Monde. Chaque année, il figure systématiquement dans le Top 10 des différents classements dans ce domaine. Et selon l’entreprise de recherche et d’analyse britannique Economist Intelligence Unit, Tokyo est depuis quelques années la ville la plus sûre sur Terre, tandis qu’Osaka est 3eme. Le taux de criminalité nippon est l’un des plus faibles de la planète, et il est en baisse constante depuis bientôt deux décennies. Cela est dû à plusieurs facteurs, comme la législation extrêmement stricte sur les armes à feu, une tolérance zéro sur la possession de drogue, une présence accrue des policiers, ou encore même la mentalité japonaise.

Il arrive fréquemment aux gens d’oublier leur portefeuille dans un lieu public et de le retrouver intact quelques heures plus tard. Dans les restaurants, certaines personnes laissent leur smartphone sur la table pour réserver une place. Le sentiment de sécurité est si prégnant qu’il n’est pas étonnant de voir des gens trainer seuls dehors très tard le soir, et ce en toute tranquillité. Vous serez également surpris de voir de très jeunes enfants faire seuls le trajet entre la maison et leur école (parfois située à l’autre bout de la ville).

2. Des conditions de vie excellentes
D’une manière générale, les conditions de vie au Japon sont tout simplement excellentes. Le système de santé est ultra performant. Le pays possède l’un des meilleurs réseaux de transport au Monde, ainsi qu’un rapport qualité-prix de très bonne facture. Le tout est bonifié par des services dont le mot « irréprochable » est la devise.

A titre d’exemple, les trains japonais sont réputés pour leur ponctualité devenue légendaire. Et l’Aéroport de Haneda à Tokyo est carrément devenu le plus ponctuel de la planète en 2015. Les toilettes publiques sont toujours bien entretenues et ne manquent jamais de papier…

3. Une cuisine extrêmement saine et incroyablement riche

Et que dire de la cuisine japonaise ? Elle a ses plats vedettes comme les sushis, les ramens ou encore les fameux bœuf de Kobe et bœuf Wagyu réputés pour être les meilleurs du Monde. Mais elle ne se limite pas à ça. Riche, d’une variété infinie, surprenante, délicieuse, elle se caractérise par son côté extrêmement sain et équilibré qui n’est pas pour rien dans les records de longévité et le faible taux de surpoids que connaît le pays. Du fait du caractère insulaire du pays et de ses 2 millénaires d’histoire, c’est une cuisine où les spécificités de chaque région sont très marquées. Ainsi chaque préfecture du pays a par exemple sa ou ses propres recettes spécifiques de ramens.

Mieux encore, contrairement à la norme qui ailleurs voudrait que le bon marché soit synonyme de malbouffe, vous trouvez très facilement au Japon de la nourriture variée et de qualité pour pas cher. D’ailleurs les produits de consommation ont un excellent rapport qualité-prix. Vous trouverez par exemple des magasins appelés 100 Yen Shop (lire Hyaku-en shop) où vous pourrez acquérir pas mal de produits de qualité à petit prix. Et un peu partout, vous tomberez sur des konbinis, ces officines fort pratiques où vous pourrez trouver tout et n’importe quoi (du repas préparé à emporter au distributeur automatique de billets) à toute heure du jour et de la nuit. Vous pourrez même si vous le souhaitez y payer vos factures.

4. Une nature magnifique, diverse, inspirante et abondante
N’oublions pas la diversité climatique du pays, allant de la polaire d’Hokkaido à la tropicale Okinawa, similaire à la Côte d’Ivoire niveau climat. Diversité qui offre au visiteur des paysages d’une beauté à couper le souffle. Dans ce pays recouvert à 85% de montagnes et de forêts, la nature est partout, luxuriante du respect que la culture nippone lui accorde. Elle sert d’écrin à un cadre de vie des plus agréables et rythme, de par le cycle des différentes saisons qui sont très chères aux japonais, leur vie quotidienne.

Dans cette série : Etudier au Japon

  1. Pour la qualité de l’enseignement
  2. Pour la qualité de vie
  3. Pour la culture
  4. Pour les opportunités
  5. Pour l’accompagnement en Côte d’Ivoire (via le Meiji Bunka Institute) et au Japon

Etudier au Japon #1 – Pour la qualité de l’enseignement

Le Meiji Bunka Institute ajoute une nouvelle corde à son arc. En effet, dans le cadre du partenariat que nous avons noué avec l’école de Langue JOTO, basé à Tokyo, nous proposons d’accompagner les personnes désireuses d’étudier au Japon, en les guidant dans les formalités nécessaires à la réalisation de ce vœu. A cet occasion, nous vous proposons cette série d’articles qui vous expliqueront les avantages des études au Pays du Soleil Levant. 

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  1. Un enseignement supérieur reconnu

Selon le site digischools.fr l’enseignement supérieur japonais est classé au dixième rang mondial. Le pays du Soleil Levant compte 774 universités et 2800 écoles professionnelles implantées dans l’un des pays, sinon le pays le plus innovant de la Planète. Des établissements remarquablement équipés bénéficiant très souvent de structures annexes comme des musées, des hôpitaux, des bibliothèques comptant parfois des millions de titres…

2. Des Universités renommées

Parmi les Universités, certaines ne sont plus à présenter à l’international. C’est par exemple le cas de l’Université de Tōkyō (surnommée Tōdai), classée en 2019 au 36eme rang mondial dans le classement du mensuel britannique Times Higher Education, ou encore de l’Université de Kyōto (kyōdai), 65eme de ce même classement. On peut également citer, parmi les établissements renommés, les Universités Waseda, Keiō ou Meiji qui ont formé nombre de figures importantes japonaises et étrangères.

3. …qui ont formé des personnalités illustres

L’Université Waseda par exemple, en plus d’avoir formé sept Premiers Ministres ou le Champion Olympique de patinage artistique Yuzuru Hanyu, compte parmi ses anciens étudiants le Fondateur de Sony Masaru Ibukan, celui de Samsung Lee Byungchul, ou encore l’écrivain renommé Haruki Murakami.

Autre signe d’excellence, le nombre de prix Nobel sortis des rangs des établissements supérieurs nippons. Le pays en compte 28 en tout, ce qui le place au 7eme rang mondial et 1er asiatique. Ces prix Nobel se trouvent essentiellement dans la physique et la chimie, comme ce fut le cas cette année avec Akira Yoshino (diplômé des Universités d’Osaka et de Kyōto), le créateur de la batterie Lithium-ion. Ou encore en médecine, comme avec Tasuku Honjo (diplômé de l’Université de Kyōto) en 2018.

Coté culturel, le pays compte 3 Prix Nobel de Littérature, parmi lesquels Yasunari Kawabata (1968), à l’image ci-dessus, et Kenzaburō Ōe (1994), tous deux diplômés de l’Université de Kyōto.

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  1. Pour la qualité de l’enseignement
  2. Pour la qualité de vie
  3. Pour la culture
  4. Pour les opportunités
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